Fondations et soutènement du nouveau poste source Enedis (Le Pecq)

Soletanche Bachy Fondations Spéciales est actuellement en cours de réalisation des fondations et du soutènement du nouveau poste source Enedis de la ville du Pecq (78).

Pour son 1er chantier, notre 3ème HR300 doit réaliser plus de 200 pieux de fondations et de paroi. Près de 1000 m2 de soutènement définitif en paroi parisienne sont au programme.

Merci à nos clients, partenaires, sous-traitants et prestataires pour ce projet soutenant la transition environnementale.

Photos Cédric Helsly

Fondations profondes par pieux StarSol du Pont de Croncels à Troyes (10)

Soletanche Bachy Fondations Spéciales intervient pour Eiffage Génie Civil pour la réalisation des fondations profondes par pieux StarSol® du Pont de Croncels à Troyes (10).

28 pieux de diamètre Ø820 mm entre 17,90 m et 19,40 m de profondeur ont été réalisés pour les deux culées du futur ouvrage d’art. Les pieux sont armés toute hauteur et les cages d’armatures ont été mises en place en un seul élément.

Ce chantier a présenté un réel défi mené parfaitement par nos équipes travaux pour respecter les contraintes urbaines. Les circulations piétonnes, routières et ferroviaires n’ont pas été interrompues pendant la réalisation des travaux.

 

Fondations du viaduc traversant le lac de la Justice à Labège (ligne C du métro de Toulouse)

Le tracé du futur viaduc du métro Ligne C de Toulouse traversant le Lac de la Justice à Labège, SBFS réalise actuellement les fondations de 6 piles du viaduc composées de 4 pieux par pile depuis une estacade provisoire.

Les pieux ont un diamètre de 1 160 mm et nécessitent une profondeur de forage de 16 à 21 m de profondeur. Ils sont livrés avec des arases basses à  – 6 m sous le niveau de l’estacade pour accueillir les futures semelles de notre partenaire Bouygues TP.

Le châssis placé sous la foreuse a été réalisé sur mesure pour notre HR180.

 

 

Formation « Implantation et réglage d’embase sur pylônes neufs »

Les 08 et 09 avril dernier, SBFS réunissait une partie de ses collaborateurs spécialisés en Génie Civil et des membres de son bureau d’études dans le cadre de la toute première session de la formation « Implantation et réglage d’embase sur pylônes neufs« .

Partage d’expérience, harmonisation des méthodes, exercices pratiques et convivialité ont animé ces deux jours au pôle formation de la zone Eurofrance à Montereau-Fault-Yonne.

SBFS se structure ainsi pour renforcer sa présence sur la création de nouvelles lignes électriques en France dans les prochaines années.

Réhabilitation et modernisation de la ligne aérienne 63 kV de Luz St Sauveur – Pont de la Reine – Soulom

Chiffres clefs :

  • 35 supports neufs à construire (En dissymétrie ou plat),
  • 2300 ml de micropieux,
  • 136 massifs de liaison (Génie Civil Spécifique),
  • 550 k€ de retombées économiques estimées.

 

MOA-MOE : Réseau de Transport Electrique (RTE) – DI TOULOUSE

Localisation du chantier : HAUTES PYRENEES (65

Chiffre d’affaires du projet mandaté par SBFS : 2,4 M€,

Effectifs déployés : De 2 à 8 équipes soit 45 personnes au pic d’activité.

 

Dans le cadre du projet de la réhabilitation et modernisation de la ligne électrique aérienne 63 kV de LUZ St SAUVEUR – PONT DE LA REINE – SOULOM, les équipes de Soletanche Bachy Fondations Spéciales interviennent pour la réalisation des micropieux et des massifs de liaison génie civil de la nouvelle ligne aérienne.

La ligne électrique existante a été construite en 1927 faisant une longueur totale de 11 km. Cet ouvrage garantit l’alimentation électrique du bassin argelésien et permet l’évacuation de la production hydraulique de la vallée. La ligne aérienne arrivant au terme de sa durée de vie d’exploitation, une remise à neuf de celle-ci est nécessaire pour garantir la pérennité de l’alimentation électrique dans le temps. C’est pourquoi, SBFS intervient pour répondre aux problématiques techniques et environnementales du projet.

Au total, 35 pylônes neufs sont réalisés sur les flancs de montagne de la vallée de Luz. Les zones travaux étant inaccessibles depuis les routes départementales, l’ensemble du matériel et des fournitures sont héliportés. Ainsi, 3 ateliers de forage, type Mat MORATH, ont été déployés afin de réaliser les micropieux. Parallèlement, les travaux de génie civil sont réalisés avec du matériel de faible gabarit, lui aussi héliporté.

Un chantier également complexe dû à la protection de la faune et de la flore présentes sur les zones travaux. Le phasage des travaux a été décomposé en plusieurs tranches d’activités pour laisser places à la reproduction animalière et florale.

Ce projet est un bel exemple de l’expérience technique des équipes de Soletanche Bachy Fondations Spéciales pour permettre le parfait achèvement des travaux en adéquation avec l’ensemble de ces contraintes.

 

Fondations pour le cimentier Calcia à Airvault (79)

Au printemps dernier, les équipes SBFS ont été mobilisées pour participer à un projet d’envergure pour le cimentier CALCIA. La cimenterie située à Airvault (79) a décidé de lancer la construction d’une nouvelle unité de production lui permettant de doubler sa production journalière tout en réduisant son empreinte carbone de 30%.

La particularité du projet est liée à son implantation au droit d’une ancienne carrière à ciel ouvert remblayée il y a plusieurs dizaines d’années. Cette contrainte a eu pour conséquence d’exiger la réalisation de pieux Starsol dimensionnés à l’ancrage dans le substratum sain dont le toit varie fortement.

Ce sont donc les foreuses Fundex F3500 et F2800 et leur couple de 45 T.m, nécessaire pour la bonne réalisation de l’ancrage, qui ont été retenues pour réaliser des pieux de diamètre 620 mm à 1020 mm durant les deux premières phases du projet. Une troisième phase, en cours de préparation pour fin 2023 début 2024, viendra clôturer le chantier et ses 752 pieux !

Foreuse SBFS mobilisée sur le projet de nouvelle unité de production de la cimenterie Calcia à Airvault (79)

Soletanche Bachy Fondations Spéciales a réalisé le pieu tarière creuse de gros diamètre le plus profond de France !

Cet été, Soletanche Bachy Fondations Spéciales a réalisé un nouveau record de France : le pieu de structure en diamètre 1,02m le plus profond, à 50 mètres. Ce pieu STARSOL® fait partie du système de fondations profondes d’un bâtiment logistique du nouveau campus français de l’entreprise biopharmaceutique allemande Sartorius, situé à Aubagne (sud de la France). 

Pour ce record, Soletanche Bachy Fondations Spéciales a mobilisé sa foreuse F5000, machine unique en France et en Europe, et seule capable de mettre en œuvre des pieux STARSOL® à une telle profondeur. 

Ce pieu record fait partie du système de fondations du bâtiment logistique P16 du site de Sartorius, composé de 277 pieux mis en œuvre par Soletanche Bachy Fondations Spéciales, dont plus d’un quart de gros diamètre à des profondeurs dépassant les 35 mètres. 

Des hautes performances environnementales

De plus, 15% de ces fondations profondes seront également réalisés jusqu’à 34m de profondeur grâce à une technique innovante de pieux refoulés à ergot (Starsol.Ref T-Pile), fruit de 35 années d’innovation au sein de Soletanche Bachy. Ce type de pieu présente des bénéfices environnementaux significatifs : 

  • Il permet de réduire les volumes bétons mis en œuvre (-30%) ainsi que les déblais de forage (-70%). 
  • Il se combine avec l’utilisation d’un béton bas carbone sur l’ensemble du chantier, qui permet une réduction de 25% des émissions de CO2 par rapport à un béton traditionnel.

Une forte exigence technique pour un site entièrement robotisé

Sur le plan technique, les deux procédés de pointe STARSOL® et Starsol.Ref T-Pile répondent aux contraintes strictes de portance, de planéité et de tassements différentiels imposées par le site P16 de Sartorius, qui accueillera un bâtiment logistique de gestion des stocks entièrement robotisé.  

Un véritable exploit pour nos équipes de Soletanche Bachy Fondations Spéciales, qui interviennent sur ce projet aux côtés d’un groupement mené notamment par Travaux du Midi (VINCI Construction, mandataire). 

Bravo à tous !

Métro de Toulouse

Historique

Le projet de construction d’un métro à Toulouse a été retenu en 1983 pour desservir sans l’encombrer la partie centrale de la ville.

Les travaux de construction de la première ligne (ligne A), qui traverse la ville dans la direction Nord-Est / Sud-Ouest, commencèrent en 1989 avec une inauguration en juin 1993. Les travaux d’extension de cette ligne n’ont été achevés qu’en 2003. La ligne B d’axe Nord-Sud a été inaugurée en juin 2007.

Entièrement automatiques, les rames se caractérisent par la technique du système VAL (Véhicule Automatique Léger). L’autorité organisatrice chargée de l’ensemble du réseau de transports publics de l’agglomération toulousaine est Tisséo – Collectivités.

Pour ces deux projets, Soletanche Bachy et Bessac étaient déjà présents au sein de différents groupements.

Nouvelle ligne

Pendant les élections municipales de 2014, le maire actuel de Toulouse, Jean-Luc Moudenc, avait fait de la création d’une troisième ligne de métro l’un des thèmes principaux de sa campagne. Ce n’est qu’en juillet 2017 que le projet est confirmé par Tisséo avec une déclaration d’utilité publique en 2020.

La ligne C reliera en 2028 les villes de Colomiers, Blagnac, Toulouse et Labège en passant par le cœur historique de la ville autour de la gare de Matabiau et François Verdier. Elle sera connectée aux lignes A et B, au tramway, au réseau Linéo ainsi qu’au réseau ferroviaire.

Le tracé définitif a été adopté en juillet 2018 : il porte sur la construction de 27 km de ligne pour 21 stations avec environ 21 km du tracé en souterrain.

En parallèle, le projet de Connexion de la Ligne B (CLB) à la nouvelle ligne C, au Sud-Est de l’agglomération toulousaine, est conçu pour compléter le maillage existant. La ligne B actuelle sera prolongée de 2 stations, avec une partie souterraine comprenant un bi-tube de 250 m poursuivi par un viaduc de plus de 2 km pour offrir une correspondance directe en fin de ligne C dans la zone de Labège.

 

Appels d’Offres

Pour la réalisation de ce projet majeur, les travaux de génie civil ont été allotis avec la succession de plusieurs appels d’offres menés sur toute l’année 2022 et proposant des dossiers pour des lots souterrains et aériens (7 lots Ligne C et 2 lots CLB).

C’est dans ce contexte que Soletanche Bachy s’est vu confier la réalisation de trois dossiers en groupement d’entreprises.

 

Le premier s’applique au marché de travaux de génie civil de la tranchée Nord de l’ouvrage d’accès au Garage Atelier des Daturas – lot 5 de la ligne 3. En collaboration avec les entreprises Bouygues TPRF et Buesa, Soletanche Bachy France est mandataire du groupement en charge de cette opération.

 

Ce marché de travaux consiste en la réalisation d’une tranchée sur une longueur de 230 m, se décomposant en une partie couverte et une partie ouverte et qui permet au métro de remonter progressivement depuis la partie enterrée jusqu’à arriver en surface, devant le futur garage atelier.

Au total, ce sont plus de 5 000 m² de paroi moulée d’épaisseur 500 à 600 mm qui seront réalisés à partir du mois d’avril 2023 à l’aide d’un atelier de benne KS, associés à plus de 4 000 m3 de béton de génie civil et 16 000 m3 de terrassement.

 

 

Le second marché, gagné au sein d’un groupement Bessac (mandataire) / GTM SO TPGC, s’applique au marché de travaux souterrains de la Connexion à la Ligne B – CLB.

 

Les travaux concernent la section souterraine de 470 m de long qui comprend deux ouvrages de transition pour l’entrée et la sortie du tunnelier permettant le creusement d’un tunnel bi-tube de 250 m de longueur. Ce tunnel prolonge la ligne B existante à partir de la station Ramonville, en permettant le passage sous le canal du Midi.

 

Pour les ouvrages de transition, la solution de base prévoyait un soutènement provisoire en pieux sécants et un cadre complet en génie civil pour l’ouvrage définitif. Le groupement a proposé une variante d’optimisation technique, conforme au cahier des charges (variante autorisée dans le cadre de l’appel d’offre), retenue par Tisseo, qui consiste en un soutènement provisoire, puis définitif, en paroi moulée. Le radier et la dalle de couverture sont réalisés en génie civil, entre les parois moulées. Pour ce projet, un atelier de benne KS sera mis en œuvre à partir du mois de juin 2023 pour réaliser les 4 600 m² de paroi moulée, en épaisseurs 500 et 600 mm, de ces ouvrages.

 

Les deux tunnels à réaliser s’inscrivent entièrement dans le substratum molassique toulousain. Le tracé des tunnels présente des rayons de courbures très serrés et des pentes importantes au démarrage et à la sortie. Ces paramètres imposent l’utilisation d’une machine relativement compacte afin de pouvoir réaliser le démarrage en courbe au sein de l’Ouvrage de Transition Ramonville et la mise en place d’un revêtement en voussoirs dont la géométrie doit être compatible avec les rayons de courbures serrés et les pentes importantes.

 

Avec ces contraintes, Bessac a opté pour l’utilisation d’un tunnelier à attaque ponctuelle répondant à toutes ces problématiques.

 

 

Le troisième lot, gagné au sein d’un groupement Bouygues TP RF (mandataire) / Bouygues TP / Soletanche Bachy Fondations Spéciales / Baudin Châteauneuf, concerne un viaduc (lot 7 de la ligne C),

 

Pas moins de 559 pieux (8 700 m de forage) seront mis en place sous les 130 piles de ce viaduc long de 5 km qui assurera la sortie aérienne du métro en partie Sud-Est du tracé entre Montaudran et Labège.

Ce chantier se compose principalement de pieux de type Starsol (diamètre moyen 1,02 m) entre 15 et 20 m de profondeur. Ils demanderont la mobilisation de plusieurs ateliers.

 

Plusieurs contraintes techniques, le long du profil, nécessiteront des techniques particulières :

  • des pieux forés tubés et forés boue sur une estacade pour 6 piles en conditions nautiques avec de fortes exigences environnementales,
  • des pieux  forés simples sous hauteurs limitées au droit de lignes électriques THT,
  • des pieux Starsol avec procédures spécifiques et renforcées à proximité de l’autoroute A61 et de voies SNCF qui resteront en circulation

 

Les premiers pieux seront forés à partir du mois d’août 2023, pour une durée globale de 18 mois jusqu’à fin 2024.

 

RER C : Les équipes SBFS se mobilisent pour la reprise du chantier RC2 !

Remontons dans le temps…

Le RER C est l’une des lignes de transport les plus utilisées d’Ile-de-France. L’augmentation perpétuelle du trafic, combinée au vieillissement des infrastructures, est à l’origine de la demande de SNCF Réseau d’un renouvellement de la caténaire s’étendant de la gare Paris Austerlitz à celle de Brétigny-sur-Orge : plus de 180 km en développé.

Le consortium privé RC2, composé de TSO Caténaire / ETF / Cegelec Mobility / Setec Ferroviaire, a attribué le marché des fondations à Soletanche Bachy Fondations Spéciales, en nous impliquant dans la conception / réalisation du projet. L’enjeu majeur pour le groupement est de positionner des fondations à travers les nombreux réseaux et poteaux existants le long des voies SNCF, sans interrompre la circulation du RER

La solution, conçue par SBFS, d’une fondation autoforée de 355 mm de diamètre en tête s’est vite avérée indispensable, tant par sa facilité d’implantation sur le réseau que par ses propriétés autoblindées ne nécessitant pas de diminution temporaire de vitesse à la reprise de la circulation sur la voie de travail. 

Après les premiers forages en 2020, le projet a été suspendu pendant 2 ans et a repris en octobre 2022.

 

 

Déroulement

Le mois de septembre a permis de mobiliser les équipes de forage et de base arrière. Cette période a été mise à profit pour apprendre à utiliser le train, pour s’entraîner au forage, et pour s’habituer aux exigences qualité du projet.

Durant 1 mois ½ de production de nuit ( 0h30 – 3h30), les deux équipes de forage ont eu l’occasion de se roder aux alluvions et aux argiles compactes de la zone entre Villeneuve-le-Roi et Choisy-le-Roi.

Le passage en production de jour a été le moyen d’obtenir des plages de travail légèrement plus longues ( 11h-14h30). 

Concernant la programmation, l’objectif est de regrouper les fondations les plus proches les unes des autres, pour ne pas perdre de temps en déplacement, mais aussi celles suceptibles d’être terminées en une seule ITC pour limiter les pertes de temps en reprise de forage.

Le dernier jour de production de la semaine demeure toujours  le plus critique : il est interdit de laisser une fondation en cours de forage non scellée pendant plus de 24h. 

Les deux prochaines années se dérouleront majoritairement de jour, à quelques exceptions près pour les voies de service.

 

Après quatre mois de production acharnée, le train de clavage entre maintenant en gare.

 

Après plusieurs mois de conception et de longues procédures de validation par des entités spécialisées dans le domaine, le train de clavage SBFS est enfin prêt. Il peut désormais évoluer en toute sécurité sur le domaine ferroviaire français. Accompagné d’une draisine (engin ferroviaire équipé d’un bras de grue) et d’un wagon plat de stockage, le train de clavage peut finaliser le travail entamé par les deux trains de fondation. Cette activité a pour rôle principal d’assurer le scellement entre les chevêtres en béton et les micropieux. 

 

 

De l’implantation au poteau caténaire prêt à être maté.

En amont

Les implantations des fondations étaient déjà décidées sur plan. Cependant, la réalité du terrain (talus, obstacles, réseaux, poteaux caténaires existants) incite les équipes SBFS à faire partie des tournées de fiabilisation sur site, où la modification de l’implantation peut avoir lieu.

Cela permet d’être certain de pouvoir réaliser la fondation avec, éventuellement, des travaux préparatoires : un simple nivellement, une retenue de ballast ou la création d’une niche préfabriquée dans un talus. Cela permet également de dresser l’environnement de la fondation, afin de préparer l’équipe forage au déploiement du train de la manière la plus adaptée.

Le RER connait plusieurs zones classées à risque pyrotechnique. De ce fait, certaines fondations sont sécurisées par sondage exploratoire avec aspiratrice et détection d’engins explosifs.

 

Les études

L’implantation validée de la fondation permet alors de lancer le dimensionnement. 

 

La production

Train de fondation :

Chaque fondation est composée d’un tube déballasteur, sur les 2 premiers mètres, garantissant ainsi la stabilité du forage à proximité des voies. A l’intérieur, on fore une armature de diamètre inférieur jusqu’à la profondeur dimensionnée au calcul. L’utilisation du procédé Hi‘Drill permet de passer tout type de terrain rencontré sur le réseau.

Le scellement de la fondation se fait gravitairement depuis le fond de forage.

 

Train de pose et clavage :

Dans un second temps, une seconde équipe SBFS intervient afin de poser le chevêtre sur le micropieu à l’aide d’une draisine et réalise le clavage entre le chevêtre et le micropieu.

 

28 jours après la réalisation de la fondation, le poteau est maté.

 

 

RC2 en quelques chiffres :

  • plus de 1400 micropieux, à l’aide de 2 trains de fondation,
  • plus de 10 km de micropieux forés,
  • 2 ans ½ de production en continu, 
  • une fondation dimensionnée jusqu’à une profondeur de 16,5 m,
  • 3 heures de temps de travail sous ITC (Interruption Temporaire de Circulation) de jour ou de nuit,
  • Un nouvel atelier de pose de chevêtre en  2023,
  • 4 ateliers (2 de forage, 1 de nettoyage, 1 de clavage),
  • 27 personnes mobilisées en continu.

Bilan de la semaine de formation annuelle

Comme chaque début d’année, après les fêtes, les équipes de Soletanche Bachy Fondations Spéciales ont respecté leur tradition annuelle : il ne s’agit pas de la galette des rois mais de la semaine de formation !

Durant une semaine, les chantiers ont laissé leur place à plusieurs formations, l’occasion pour nos collaborateurs de remettre à jour leurs habilitations sécurité (CACES, secourisme, habilitations électriques).

Un nombre important de nos collaborateurs utilisant régulièrement un véhicule routier pour leurs besoins professionnels, une formation éco-conduite a été proposée. Cette formation leur a permis d’acquérir un mode de conduite sereine et anticipative, permettant ainsi une baisse des coûts d’usage du véhicule (carburant, usure…) et de notre empreinte carbone. En complément, une formation risques routiers a également été proposée.

Les managers de chantier, chefs et conducteurs, ont également participé à la première session du Passeport Pieux N3, niveau chef de chantier. Cette formation interne, qui complète le cursus Cap Chantier, regroupe toutes les règles techniques pour la bonne exécution d’un chantier de pieux.

Durant cette semaine, 180 collaborateurs ont ainsi été formés pour un total de 3 800 h de formation !